Thollysh - Pas terminé

Un autre affreux jour se levait au loin. La lune laissait lentement sa place au soleil qui sans prendre garde aux habitants de Teilia, commençait a réchauffer le sol de ses rayons brûlants. Un œil s’ouvrit puis l’autre, Thollysh regardais avec désolation le plafond de sa cellule, d’un seul coup de patte il retira de sur lui le minuscule bout de tissus qui lui servait de couverture. Ce qu’il y avait en dessous n’était guerre mieux, sa deuxième mue était commencée et ses petites écailles tombaient par bout afin de laisser la place aux plus grosses et plus dures qui étaient en dessous. Le Drake de 26 ans en avait marre de cette vie enfermée à boire de l’eau sale et de ne manger qu’un morceau de pain sec aux deux jours. Il se demandait ce qu’était la vraie vie à l’extérieur de ce sous-sol médiocre sans même une fenêtre pour donner un espoir. Soudainement il revint à la « vie » normale qu’il vivait car deux ophidiennes vinrent claquer un morceau de fer sur un barreau de sa cellule. D’un coup d’œil négligeable il regarda le premier ouvrir la porte et le second entrer lentement en se moquant de lui, lui faisant balancer une clef au bout de ses pattes. D’un geste vif, l’ophidienne entra la clef dans la serrure de ses menottes de pattes et l’empoigna fermement pour l’emmener à la salle de réunion. Un autre fabuleux repas en compagnie des siens le premier de la semaine. Les autres étaient là, rachitiques et sans force, sales et moroses. On avait de la misère à distinguer les belles écailles vertes sous la poussière noire et épaisse de la mine. Le repas se déroula sans un bruit excepté un toussotement rare dans la salle indiquant que la nourriture était immangeable et sèche.

La journée allait commencer, certains s’en allaient miner d’autres forger, aujourd’hui Thollysh était classé, je dit bien classer car ces Drakans n’étaient que des numéros et des dossiers pour ces ophidiennes, dans la construction du temple. Il détestait cette tâche et on dirait que les ophidiennes s’amusaient follement à le mettre à cet endroit seulement pour voir son regard blasé. Il préférait bien mieux travailler à l’armurerie au moins a cet endroit il pouvait regarder les créations faramineuse de ses confrères forgerons, des armes des boucliers, tout était fait par le peuple. C’est de là que sa passion pour les armes est née. Tenir avec fierté une lame balancée parfaitement était pour lui son plaisir, sa le rassasiait pour le reste de la semaine. Il aimerait tant pouvoir en profiter et donner quelques coups sur un pantin afin de ressentir la puissance d’un geste rapide et précis. Dans ses fabulations il portait une armure solide et légère arborant fièrement une identification militaire Drakanne. Pour lui l’équilibre avait beaucoup d’importance, trop pour qu’il finisse ses jours esclave de ces bêtes avides de pouvoir. Il voulais sortir de ce trou a rat totalement insalubre et dénudé de tout intérêt. Tout ce qui se passait ici c’est du travail, du travail et des coups de fouets. Une fois de temps en temps, une légion d’ophidiennes passait armée préparée à se rendre au front pour combattre. Tout cela le révoltait mais il ne montrait aucune émotion de un car il n’en avait que très très rarement et deuxièmement il ne voulait pas envenimer sa situation déjà malencontreuse.

Tout cela ne pouvais pas rester comme sa, il ne le voulais pas…..
(le reste a continuer ^^)

J'aime bien, hormis un détail. Je doute que les ophidiens te laissent porter les armures ou manier tes armes

J'aime bien aussi. Remarque, Sragyas, que l'Allemagne nazie faisait construire plusieurs de leur équipement par les esclaves dans les camps de concentrations. Ensuite, ils se demandaient pourquoi leur messerschmitts à réaction ne volaient pas bien et explosaient à tout bout de champ. Je crois par contre que ca doit être très restreint comme utilisation, les forgerons ne travaillent sûrement pas dans une très grosse forge et doivent être très surveillés.

Citation :

Tout cela le révoltait mais il ne montrait aucune émotion de un car il n’en avait que très très rarement et deuxièmement il ne voulait pas envenimer sa situation déjà malencontreuse.

Pourtant, tout ton texte est très émotif, on voit bien ce qui y est transmis.

Je vais être plus explicite.

Toto a écrit:

Tenir avec fierté une lame balancée parfaitement était pour lui son plaisir, sa le rassasiait pour le reste de la semaine. Il aimerait tant pouvoir en profiter et donner quelques coups sur un pantin afin de ressentir la puissance d’un geste rapide et précis.

paf


N'importe quoi, je vais me coucher.

De un il ne portait pas les armures:

Citation :

Dans ses fabulations il portait une armure solide et légère arborant fièrement une identification militaire Drakanne

Et je ne vois pas ce qu'il y a de si N'importe quoi dans sa...

Citation :

Tenir avec fierté une lame balancée parfaitement était pour lui son plaisir, sa le rassasiait pour le reste de la semaine. Il aimerait tant pouvoir en profiter et donner quelques coups sur un pantin afin de ressentir la puissance d’un geste rapide et précis.

C'est sa passion pour les armes qui nait ne pas avoir d'Émotions sa ne veut pas dire qu'il est blasé de tout et que rien ne peut etre plkus ausant qu'une aute chose pour lui.

je te donne le choix entre manger tes excréments ou manger des feuilles morte....personnelement je mangerais des feuilles mortes mais sa ne veut pas dire que j'aime sa pour autant.....

Dans l'optique où l'esclave Thollysh travaille comme forgeron (ou aide forgeron), il est normal qu'il puisse tenir certaines armes. Lors des périodes d'esclavage, il y a toujours eu des esclaves plus "chanceux", ayant une position plus élevée grâce à leurs talents. Sans devenir des gens libres, ces esclaves avaient certains privilèges en raison de la confiance dont ils faisaient l'objet.

Ainsi, si Thollysh a toujours été un forgeron exemplaire, soumis et travaillant, il est presque sûr qu'il pouvait tenir certaines armes dans le cadre de son travail. Ceci dit, comme il est mentionner, il tenait les armes, mais ne les maniait pas

Sinon, pour le texte, hormis quelques tournures grammaticales un peu bouetteuse, c'est excellent

haha c'est sa que sa fais 1 an et demi qu'on a plus de cours de francais

(malgré que les cours de francais du cegep c'Était pas mieux)

Le "n'importe quoi" faisait allusion à mon "paf". J'étais plus que fatigué.

Bref, j'avoue ne pas avoir remarqué fabulation (surement encore la faute du sommeil).

C'est bon, il est impec ton BG alors