[Cohorte] Burskal (Brutal)

Nom de Cohorte : Burskal
Signification : Brutal
Années : -3


Après 12 ans d’esclavage et à surveiller les Drakans, plusieurs Ophidians ne savant quoi faire de tout se temps commençère a être de plus en plus agressif, à cause de l’ennui.

L’agressivité des Ophidians allaient parfois jusqu’a les battre, a les lapidés et a les soumettre à des tâches inutiles.

Lorsque la Reine Ophidian apprit la situation et surtout lorsqu’elle remarqua que ses esclaves donnaient un moins bon rendements, à cause de cette nouvelle violence.

Elle devait donc prendre le temps d’y réfléchir sinon il n’y aura plus de Drakans ou moins de ce qu’ils sont déjà. Elle demanda donc l’assistance de c’est conseillés. Elle affirma dès le débuts que cette situation était majeur et qu’il fallait donc trouvé une solution qui devra être aussi grand que le problème.

Après, une nuit et un jour, le sujet a été voté en faveur et élaboré. Le matin de la deuxième journées la Reine prit place a la place publique et annonça le projet et finissant son texte par ceci :

-Qu’on construisent une Arène! S’exclama a voix haut.

Plusieurs guerriers Ophidians et garde s’exclama de satisfaction.

L’arène prit un ans a faire construire. Elle était composé de pièges, de fossé de colonne armé de pieux. Celle-ci se trouvant sous terre, pour évité que les Drakans soit vue, donc elle n’étais pas grande mais facilement 10 humanoïdes pouvait rentré dans l’arène de combat. Il y avait aussi un estrade, des bancs en pente, permettant aux Ophidians plus loin de voir. Suite a la construction de l’arène. La Reine décréta :

-Cette années tout les Drakans âgé de 16 ans, ils ferons partit de l’arène!

Et la Reine n’était pas naïve, elle se dit mieux sacrifié une génération au lieu de tout les suivantes et elle signa deux règles majeur :

--Après qu’il y aura plus de sang a faire coulé, l’est combat prendrons fin, donc a la suite de la morts de cette Cohorte.

--La seconde fut lorsque les combat finirons l’arène deviendra une place public, de festivité.
La raison a sa, était de gardé c’est soldat occupé.

C’étais l’ans 16, l'ans du début d'un massacre. En une soirée tous on été déporté dans les cachots de l’arène, les jeunes Drakans étaient projetés vers le font de la cellule avec tant de force que certain se sont cassé des membres.

Suite a cette nuit, la terreur pris vraiment une plus grande ampleur. Dès le matin, les jeunes Drakans on reçu une épée courte de fer presque toute rouillé. On ordonna au jeune de se pratiqué a se battre entre eux et sur les pantins, mais jamais un Drakan a fait un combat dans l’arène contre un autre Drakan et dans les pratiques, les coups étaient très contrôlé. Les Ophidians leurs a laissé quelques mois pour performer et se faire quelque muscles.

Suite a sa les premier combats commencèrent et les Ophidians savait très bien que les Drakans se battrai jamais entre eux. Donc il organisèrent des combats contre des créatures, des fauves, contre des prisonniers Ophidians et des fois un groups de Drakans contre un groupe de monstre. Après 24 ans très peu on survécu.

Mais pendant ces années, il y a eu plusieurs événements majeur concernent l’arène. Certain se sont mis a des gageures et cela prit une ampleur fou. À telle point que les plus fortuné achetèrent des Drakans et les entraîna encore plus et les tatouai de la tête aux pattes.

Ils étaient devenu des Brutes, avec leurs cicatrises et leurs tatou. Et devenait en quelque sorte des héros de l’arène et surtout se qui veux dire qu’il rapportait également bien de l’argent a sont possesseur. Mais, ils eurent un nom plus précis ‘’Burskal’’ signifiant Brute et l’être brutal.

Mais cela n’empêchait pas les morts de continué à donner une couleur rouge au pierre de l’arène.

C’est justement a la 24ième années que la Reine remarqua. Il restait qu’une poigné de 10 Drakans, certain était si costaux qu’on croirait qu’une lame ne traverserai pas leurs écailles, d’autre d’une rapidité étonnante et d’autre d’une force vraiment sans borne. C’étaient tous des réels Brutes de combat, mais aucun de c’est 10 Drakans a trahi leurs anciens valeurs.

La Reine, remarqua cette force et elle fut touché, elle a donc mis fin au combat dans l’arène et les 10 derniers on été remis dans la même sale que les leurs, se fut tout un choc. Mais s’eux-ci était accompagné de plusieurs gardes.

Les Burskals apprenaient les dernières valeurs Drakans, qu’ils leur manquèrent. Et finalement les Ophidians leurs a donné le travail habituel.

Comme si tout cela serait oubliée…


(J'aimerai bien savoir se que vous en pensé et rédité sur le fait qu'ils ne leurs on pas laissé 15 ans d'apprentissage, merci Veleshro et pour se qui est de la réaction des Drakans face a l'arène, sa deviendrai plus compliqué, donc encore plus gros. Mais sa sera a développé.)

C'est assez original et innatendu, j'aime bien... hormis la trop grande présence de sauts de paragraphes

Je suis plutôt mitigé. En fait, j'aime beaucoup l'idée, le concept, le texte n'est pas trop développé, mais il dicte avec exactitude l'essentiel.

Par contre, deux trucs me chicottent, voici:

Je ne cherche pas à remettre le fondement de ton BG lui-même en question, mais je m'interroge sur les réactions des Drakans en voyant certains des leurs si peu bien traités, ou carrément enlevés.

Ensuite, n'est-il pas un peu incohérent de voir que le but de la création de l'Arène fut de défouler les Ophidiens alors qu'on les a fait attendre 15 ans? Je veux dire, dans la logique, ils auraient plutôt pris des Drakans déjà âgés de quelques années. Je crois plutôt que les Burskals devraient être né environ deux ou trois ans avant l'esclavage et qu'ils les aient choisis comme Gladiateur car ils n'avaient pas beaucoup baigné dans la culture pré-esclavagisme et qu'ils avaient peut-être même été victime de la réorganisation éducative des drakans, qu'ils étaient donc moins éduqués que les autres, mais plus endurci de nature.

Une simple proposition Kalvas, mais l'essence même de ton BG rend l'histoire de l'esclavagisme très intéressante.

Mais je suis totalement d'accord avec toi Veleshro. Je ferait les modifications le plutôt possible.

Et hum... grand merci de vos critiques construtives, J'avais bien peur qu'il ne soit pas accepté.

(sa été modifier)

Je ne veux pas être rabageois. Mais puis-je avoir l'opinion de Blaze ou Shu, pour m'assuré que celui-ci est conforme?

Mille excuses, je pensais avoir répondu

Ton BG a plusieurs erreurs sur le plan syntaxique et orthographique et ce serait à régler. Sur le plan du fond, l'idée est bonne et elle pourrait donner lieu à des traditions d'esclavage très intéressantes.

En somme, je pense que si tes idées, en elles-mêmes très riches, étaient un peu mieux présentées et exploitées, elles pourraient donner quelque chose d'assez intéressant. Peut-être que, si tu le veux, quelqu'un pourrait peaufiner la forme un peu plus?

(PS : Je suis critique, mais je ne veux en aucun cas être insultant. Si je te brusque, je m'excuse d'avance )

Merci! et je mis attendais aussi qui manquais de erhm... d'ajectif et de complément et etc...

Enfin, je vais tenté de le poufiné, sinon je vais le demandé a un ami.

Burskal



L’énorme épée du Drakan vint heurtée la gigantesque patte qui s’était abattue à quelques centimètres de lui quelques secondes auparavant. La partie inférieur de la patte fit quelques bonds avant de s’arrêter dans le sable, quelques mètres plus loin. Voyant sa patte sciée en deux, la créature poussa un cri qui résonna dans toute l’arène. Étais-ce un cri de souffrance? Un cri de rage? Le Drakan jugea la deuxième option comme plus crédible, voyant la créature redoublé d’effort dans ses attaques. Maintenant qu’elle avait sept pattes, elle était plus vulnérable. Le Drakan parra toutes les attaques, se servant de sa queue afin de s’équilibrer. Sa lame à deux mains, tribu fort difficile à obtenir était son principal atout, lui qui évoluait dans cette arène ensanglantée muni d’un pagne. Dès qu’elle baissait sa garde, le Drakan faisait son possible pour assèner un coup de poing dans les multiples yeux de cette damnée arachnide. Plusieurs fois, il avait retiré son poing de justesse en voyant les pattes buccales de cette créature tenter de l’y attirer. Il comprit aussi, en constatant les dépôts d’humeur aqueuse sur ses jointures, qu’il rendait plus aveugle cette araignée à chaque coup. Lui-même n’avait plus qu’on oeil, vieu souvenir que lui avait laissé un affrontement avec un squelette. Le Drakan leva l’oeil vers son employeur, car bien que le vrai terme fut maître, jamais un Drakan ne s’abaisserait à cette appelation, et vit un petit signe de la cavité crânienne de ce dernier : Le signe final. Le Drakan plongea sous l’araignée et faisant face au céphalothorax : Un faux mouvement, et elle lui broyerait la tête avec ses pédipalpes et ses chélicères. Mais tel ne fut pas le cas, la foule vit une lame traverser de part et d’autre le prosome de la créature, la prenant au dépourvu. Elle poussa un long cri exultoire avant de rendre l’âme. Le Drakan sorti de sous la carcasse, planta l’épée dans le sable et leva les poings vers le plafond : Une vague d’applaudissements, de cris et de sifflements vinrent des sièges occupés par ces maudits serpents. On lui avait appris à lever les bras en guise de victoire, ce n’était pas dans la nature drakanne. Trop peu furent apte à voir sur le visage de l’homme-dragon tout le dégoût qu’il éprouvait à avoir exécuté cette pauvre créature laissée sans nourriture durant des semaines pour ce combat. Il ramassa sa lame, se préparant à passé par la grille d’où il était entré lorsqu’il entendit les cris s’intensifier, il se retourna. La vision qu’avait ce Drakan borgne fut terrifiante, trois dévoreurs fonçaient sur lui, leur bras nécrosés entourées de végétation morte s’articulaient en sa direction. Il entreprit une vrille avec son épée, espérant les trancher en deux sur le coup, mais il un autre lui sauta sur le dos, plantant ses dents acerées dans les écailles du Drakan. Il perdit pied et tomba. Il remercia Aeltisis et Sakertosk de le rappeler à eux, son calvaire était terminé. Lorsqu’un des meurtriers brandit le crâne sanguignolant du mort, la foule éclata d’un sifflement amusé, joyeux… Ceux qui attendaient leur tour dans l’arène en eurent des frissons, de la viande, de la chair, voilà ce qu’ils étaient devenus.

Ainsi était le quotidien des fils damnés de la cohorte Burskal. Burskal était un dérivé drakan de ce qu’on pourrait qualifier, en langage commun, de brutal. Dès leurs premières jours dans le Jardin de l’Éveil, ces jeunes nouveaux nés s’étaient montrés agressif et tendu, particulièrement lorsqu’un confrère ophidienne vennait les voir. On n’y porta aucune attention, la rationalité drakanne écarta tous liens entre cet état et les ophidiennes, ils n’étaient simplement pas de la même race, voilà tout. Les Drakans avaient donc oublié le lien sacré de l’instinct, qui ne mentait jamais. Néanmoins, cette cohorte fut elevée, et 3 ans après l’éclosion, ils furent traîné dans un cachot, où ils subièrent les lacunes d’éducation qu’entraînait la complète désorganisation des systèmes drakans : Ils devaient rapidement réadapté l’académie à une vie d’emprisonnement et d’asservissement. Ainsi, les Burskals apprièrent à faire légèrement plus confiance à leur instinct que les autres, n’ayant pas connus le système à son apogée. Ils étaient très turbulents, énergique.

La matriarche suprême, Ylarsk'shalh, observait son peuple dominant depuis déjà douze années. La nature violente des Ophidiennes contrôlait complètement ses hommes-serpents. Chaque jour, elle recevait des rapports concernant le massacre de Drakans, qu’on s’empressait de cacher aux esclaves. Ylarsk’shalh ne désirait certainement pas une rebellion, elle savait les Drakans puissants et terrifiants et de si bons esclaves devaient produire. Uliarsk'jarsku, son chancelier, lui conseilla donc d’élaborer un plan et une loi en rapport avec cette situation. La reine s’enferma alors avec son conseil matriarchal et durant un jour et une nuit, ils discutèrent de cette situation. Le lendemain, le choix était clair. Elle fit donc convoquer la population ophidienne devant son royal balcon serti d’une énorme émeraude taillé à même l’île de Kyslosk, et commença son discours. Elle en vint à deux conclusions : On se devait de traîter le plus paisiblement possible les Drakans, ou néanmoins faire preuve de subtilité dans les abus, et une arène serait créée. Dans cette arène se tiendrait des jeux guerriers où on s’entretuerait pour la victoire. Les plus grands auront droit au retour à la vie normale d’esclave, les plus faibles périront. Le peuple fut satisfait, qu’elle était grande, cette reine, qui avait vaincu les misérables Drakans…

L’arène fut terminée quatre années après cela. On avait fait tailler le dôme et les blocs qui serviraient de sièges aux Drakans, mais ce fut les ophidiennes qui arrangèrent le tout en arène : On ne devait pas savoir ce qui s’y passait, du moins, seulement le plus tard possible. Finalement, un peu de sable prélevé dans les précieuses dunes Kheijanes permettrait aux guerriers de s’éssoufler plus rapidement. De plus, le sable absorberait le sang et il est aisément remplaçable. Le gardien d’esclave en chef, Xsyark’shilk, vint voir la matriarche et lui annonça qu’il était certain d’avoir trouver les Drakans parfaits pour ces grands jeux. Une cohorte en particulier, qui avait un tempérament bouillant. De très mauvais esclaves, mais d’excellentes marionnettes. Les Burskals. En une soirée, on enleva tous les Burskals, et on les emprisonna dans une énorme sale aux barreaux toujours très lisses et luisants : Une nouvelle cage. Les Drakans, âgés de 19 années étaient effrayés, mais ne le démontrait pas. Dès le lendemain, ils furent appelé à se battre. Avant le début de ces affrontements, le chancelier dicta deux règles clairement définit par la matriarche : Cette génération de Drakans sera la seule à participer aux combats d’arène. Les autres Drakans devront ignoré cette situation. Cette arène deviendrait ensuite un endroit où se déroulerait les festivités ophidiennes et les investitures.

Les combats furent si populaire que les ophidiennes se mirent à parier. La reine permis même à certains désireux d’achèter des Drakans, qu’on s’empressa de marquer au fer, de tatouer. Cela devint même coutume : On faisait de la publicité sur le dos de nos petits Drakans : Seulement les meilleurs, évidemment, un Drakan inéfficace ferait de bien mauvaises publicités. Tout ce cirque dura 24 années. 24 années de torture à se demander s’ils reverraient leur semblables. 24 années où les autres Drakans se questionnèrent sur la disparition des Burskals.

Un beau soir, la reine se rendit dans les cachot afin d’observer ce qui restait des Drakans : des créatures très bien entraînées, mais malades, affaiblies par tant de combat. Elle les compta rapidement, une dizaine, peut-être deux. Elle avait préalablement constaté le contentement de son peuple qui s’était calmé et qui y portait moins d’attention. Elle ordonna qu’on les relâche, et acheta ces derniers Drakans à leur propriétaires, non pas sans l’aide de quelques menaces.

Ils réintégrèrent la communauté drakanne, complètement déboussolé, brutaux, sans manières. On les prit en pitié, et chaque fois où ils n’avaient pas de travail, on tentait de leur réapprendre les bonnes manières. Ils redevinrent des Drakans, non pas simplement des brutes, mais l’âme du survivant sommeille en eux en cette 40e année d’esclavage.

La reine avoua alors à son chancelier avoir prévu de recommencer l’expérience à tous les 35 ans si tout allait bien, ce qui fut le cas. Une jeune cohorte aura peut-être l’incroyable « chance » de fouler le sable souillé de cette arène d’ici 11 ans, en 51.


(Merci à Veleshro pour ce texte, il a donné l'aspect que je cherchais a vous expliquez, encore merci et qu'en dites-vous ? )

J'aime beaucoup cette version, plus détaillé, des séquences narratives allongée, ouah, l'auteur de ca est un dieu. Je devrai l'appeler Sa Majesté son Altesse imperialement et royalement divine. Ah, tiens, c'est moi qui l'ait écrit?

Oui, sérieusement, il doit encore être criblé de fautes. Semble-t-il que Kalvas s'empresse de poster ce que je lui envois. Néanmoins, je le corrigerai quand j'en aurai l'occasion, et même si je l'ai, faudra attendre que j'en ai envie.

Le BG est excessivement long, je m'en excuse, mais j'ai été inspiré par ma petite scène d'introduction qui est très longue, je couperai s'il faut.

Tu m'as pas prévenu sur le fait qu'il n'était pas fini et lorsque je l'ai lu. J'ai vu qu'un texte formidable décrivant ma Cohorte. Les fautes soit, il y en a peut-être bien mais son peux.

C'est très bien ainsi je trouve.